Sans me souvenir de qui j’étais, et qui étais mes parents, je m’approchais de ce grand établissement surnommé Académie. Dur était la vie quand on est orphelin … Vivre seul, et compté sur soi-même. Mais plusieurs questions me traversaient l'ésprit, qui me paraissaient si simples... Qui étaient mes parents ? Sont-ils en vie? Où sont-il ? Mais jamais je n'eu jamais pu avoir des réponses à ces question.
Un jour où le soleil était au rendez-vous, je vis, à l’entré, un homme, qui m'était, à mon égarde, totalement inconnu. Il m’accueilli et me laissa entrer avec un grand sourire. Et soudainement,après avoir fait un premier dans dans ma salle de classe, je me sentis moins seul. Il y avais plus d'une vingtaine d'étudient. C'était avec tous ces élèves que j’allais étudier. Je me sentis tout léger, tel un homme possédant un tendre cœur. Les jours défilaient à une vitesse grandiose, certains de mes amis venaient m’aider et me sollicitaient, l’apprentissage de toutes ces techniques me passionnais, et mes résultats ne furent que positifs. Chaques jours, je m'impatientais de découvrir de nouvelles combinaisons, de nouvelles téchniques, pour devenir plus fort. Le temps passait rapidement, et j'évoluais sans m'arreter d'enrichir mon savoir. Je commencais à posséder une grande Puissance et une grande Intelligence. Jamais je ne croyais un jours pouvoir aquérir toute cette capacité en si peu de temps.
Mais un jour de pluie, où l’orage frappait de toute sa violence et de sa force, un de mes camarades me demanda de relever ma mèche, qui cachait mon œil gauche .
La peur se fit sentir dans mon cœur. Devant tant de témoins, je ne pouvais qu’accepter… Ou me réfugier. Le résultat aurait, de toute façon, été le même, et aurait reposé sur un seul cas… La solitude.
Avec désespoir, je relevais ma mèche, et quand ils aperçurent mon œil, terrifiés, apeurés, tous mes camarades m’abandonnèrent, jusqu'à être exclu de l’académie.
A partir de ce jour, il m’était impossible de reprendre des cours, tous refusant mon entré dans les académies.
Je parcourais de village en villages, pour trouver une académie qui m'accepterait. Mais en vin, tous me rejetèrent.
J'étais de nouveau seul, pour seul amis mon esprit.
Mon apprentissage se termina, et ma conquête continua…
Ainsi, je dévoilais petit à petit une haine et une soif de vengeance envers mon village… J'avais aquis assez de Force, de Puissance, d'Intelligence, de Ruse, pour réduire mon village à néant ! A chaque instant l'envie me démangeait. Mais j'attendais que le bon moment arriva.
Je marchais droit, mais dans le brouillard. Sans voir où j’allais.